Zoom sur... La promesse de l'ancre (Mai 2023)

«  Nos peurs, nos fragilités… La poésie comme rempart pour parler de l’innocence de l’enfance à retrouver, pour nous sortir un jour du désordre engendré par notre humanité » .

AUTO-BIO-PHOTOGRAPHIE

LA PROMESSE DE L’ANCRE

Sexe : homme ou femme  (selon les saisons)

Longueur : 6 500,787 pixels (approximativement)

Largeur : bien plus que les cadres de cette expo

Masse volumique : question totalement impudique et sans intérêt

Âge : de raison (méthode de l’auto-persuasion positive…)

Je pratique la photographie depuis l’âge de 20 ans. L’argentique et son développement ont été une grande école de sagesse, de patience et de persévérance. Savoir développer sous un agrandisseur et dans un bac de chimie m’a été d’un grand secours dans le traitement numérique des images bien plus tard.

Je travaille essentiellement la couleur. Je ne sais vraiment pas pourquoi puisque j’adore le noir et blanc et j’expose de temps en temps dans ces couleurs binaires aux nuances de gris. Mais il y a pour moi comme un challenge à chaque fois de tirer une colorimétrie aiguisée sur chacune de mes images. Je peux alors y passer beaucoup de temps… des heures… parfois plusieurs soirées jusqu’à l’obtention de l’image finale.

Mes images et mon style ? : Certains diront poétiques, voire oniriques. Moi je dis surtout : « venues du ventre ».

De la photographie ? Je ne pense pas. Un appareil photo au départ pour une image à la fin. Car je produis de l’image, pas des photographies. Je ne me sens assez peu photographe en vérité.

Je travaille essentiellement avec des modèles en studio, dans mon atelier photographique à la maison, près de Dijon. J’ai des histoires à raconter. Alors, sur chaque photographie ou presque, un texte y est associé. Je passe mon temps à écrire et bien souvent, j’utilise l’image comme prétexte pour décrire ma vision du monde… selon les saisons du moment.

Audincourt : une âme photographique dans cette ville, portée par une association pro-active (Mode Ouverture) avec un cœur gros comme un grand processeur sans cesse renouvelé. C’est une ville que j’aime depuis 2020 et ma première exposition sur la vie de Camille CLAUDEL en mars de cette année-là… mois et année funestes !

Un endroit pour me lire : uniquement sur Instagram

PS : mon prénom, c’est Franck

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